Gustave Roussy toujours 1er centre français et 1er centre européen en oncologie

L’excellence de Gustave Roussy est une nouvelle fois reconnue par le magazine américain Newsweek, qui a classé l’Institut 1^er centre de lutte contre le cancer en France et en Europe, et parmi les meilleurs mondiaux, à l’occasion de la publication du classement World’s best specialized hospitals 2026.

Publié annuellement par le magazine américain Newsweek, le classement World’s best specialized hospitals 2026 réalisé en collaboration avec Statista est établi à partir des résultats d’une enquête en ligne menée auprès de dizaines de milliers d’experts du monde de la santé et s’appuie sur des indicateurs de qualité exprimés par les patients.

« Ce classement démontre la capacité de la France à rayonner sur le plan scientifique. Gustave Roussy conforte sa place dans le top 10 mondial, à la 6^e position, face à des centres bénéficiant de budgets incomparables, démontrant la force d’innovation et le talent des équipes de l’Institut. Ce résultat, qui est un motif de fierté pour l’ensemble des personnels, est également un appel à renforcer l’investissement public et privé pour permettre à la recherche française de rivaliser avec les plus grands centres américains et asiatiques en oncologie », souligne le Pr Fabrice Barlesi, Directeur général de Gustave Roussy.

Dans ce contexte de compétition mondiale accrue avec des institutions qui bénéficient de budgets bien supérieurs à ceux de la France et disposent de moyens humains incomparables, le maintien de Gustave Roussy dans le Top 10 mondial, au 1^er rang français et au 1^er rang européen constitue une performance inégalée. C’est une preuve de la force d’innovation des talents des équipes françaises et de l’engagement sans faille des personnels de l’Institut pour apporter la meilleure qualité de soins à l’ensemble des patients suivis, associés à une recherche de haut niveau et à haut impact sociétal. Les chercheurs et les soignants poursuivent leur objectif de guérir 80 % des patients atteints d’un cancer d’ici à 2040.